Histoire tragique – mais classique – de l’usine à rêves : Maria Schneider fut le temps de deux films, Le Dernier Tango à Paris (1972), et Profession : Reporter (1975) un sex symbol absolu, un symbole tout court.
Le symbole de la révolution sexuelle (la réplique culte dans le Tango : « Go, get the butter! »), et de la liberté, mais aussi de la tentation de la folie, des années soixante-dix dans le chef d’œuvre d’Antonioni.
Elle disparut ensuite, dans une filmographie improbable, faite d’apparitions ici et là, et de téléfilms. Elle vient de mourir à 58 ans.
Magie du cinéma, on n’oubliera pas Maria Schneider, ses deux films, ses cheveux noirs, sa moue boudeuse, et son talent.
4 février 2011 à 12 h 40
[…] de la cinéphilie), Maria Schneider détestait les films qui l’avaient rendu célèbre (voir plus bas). Mais surtout, elle détestait ce qui les avait rendus célèbres : leur charge sulfureuse, et […]
5 décembre 2015 à 15 h 08
That’s an inventive answer to an interesting question
29 avril 2016 à 2 h 37
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